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Bilan : 60 jours

Déjà décembre. Cette année semble avoir passée encore plus rapidement que la dernière, même si certains moments m’ont paru interminables. Je suis contente de constater que les choses se placent tranquillement. Je me rapproche du coeur de l’ognion, couche par couche. J’apprends à être moi-même, à me défaire doucement des conditionnements accumulés au fil des ans. Je pensais m’être perdue, mais au fond j’étais simplement déconnectée de mon essence profonde…

Déjà décembre. Cette année semble avoir passée encore plus rapidement que la dernière, même si certains moments m’ont paru interminables. Je suis contente de constater que les choses se placent tranquillement.

Je me rapproche du coeur de l’ognion, couche par couche. J’apprends à être moi-même, à me défaire doucement des conditionnements accumulés au fil des ans. Je pensais m’être perdue, mais au fond j’étais simplement déconnectée de mon essence profonde… après avoir laissé le jugement des autres influencer l’image que j’avais de moi-même aussi longtemps.

There is no greater gift we can give another person than allowing them to be who they are, rather than who we want them to be.

Les amis que je visite depuis le début de cette aventure ont un immense impact sur mon processus de guérison.

J’hésitais encore beaucoup au départ. J’y allais avec modération, de peur d’être rejettée, j’imagine. Mais chaque fois que je me suis ouverte, j’ai reçu du feedbackpositif. Donc, je me suis laissée aller.

J’ai laissé tomber la façade, je me présente telle que je suis. J’ose parler de méditation, de yoga, de ma façon de voir la vie; utiliser mes huiles essentielles un peu partout; admirer la lune tout en parlant de l’impact de son cycle; exprimer tout ce qui me passe par la tête (drôle, sérieux, sarcastique); rire de mes petits travers et de mon manque total d’orientation.

Je reviens à la personne que j’étais, mais avec plus d’expérience et de maturité. Je suis prête à m’assumer, à laisser ma lumière briller.

Je ne me censure plus. Je vis mes émotions pleinement. L’intensité est au maximum, mais mon rythme a ralenti. Je n’ai plus le sentiment d’obligation de faire quelque chose. Je profite de chaque moment pour connecter (à moi même ou aux autres) et influencer le monde, à ma façon.

Je peux enfin affirmer que je suis sur le bon chemin. Que je retrouve peu à peu le bonheur. Et ça, ça fait du bien.