fbpx

Découvrir Bâle

Lors de ma première journée à Bâle, Martina et moi essayions de suivre un circuit audio-guidé ce qui s’est avéré semi-fructueux. Alors, pour ma deuxième visite, je suis retournée à la bonne vielle méthode papier! J’avais quelques heures à tuer avant de retrouver mon ami Ben (de Strassbourg) à la gare. J’ai saisi l’occasion de visiter Dreiländereck, là où les frontières la France, la Suisse et l’Allemagne se rencontrent. À gauche du pont, la France. À droite, l’Allemagne. La pointe de terre est en Suisse. Avoir été un peu plus brave...

Lors de ma première journée à Bâle, Martina et moi essayions de suivre un circuit audio-guidé ce qui s’est avéré semi-fructueux. Alors, pour ma deuxième visite, je suis retournée à la bonne vielle méthode papier!

J’avais quelques heures à tuer avant de retrouver mon ami Ben (de Strassbourg) à la gare. J’ai saisi l’occasion de visiter Dreiländereck, là où les frontières la France, la Suisse et l’Allemagne se rencontrent.

À gauche du pont, la France. À droite, l’Allemagne. La pointe de terre est en Suisse. Avoir été un peu plus brave, j’aurais sauté à l’eau pour nager jusqu’au point exact où les frontières se touchent… simplement pour dire qu’un jour, j’avais mis les pieds dans 3 pays simultanément! Mais bon, j’ai préféré rester au sec (et loin des problèmes).

Je suis ensuite passée (légalement ou non, je ne suis toujours pas certaine) en Allemagne pour marcher sur la Passerelle des Trois Pays. Il y a un énorme centre d’achats du côté allemand alors beaucoup de Français traversent le Rhin pour faire leurs courses.

Le système de transport en commun est brillament conçu en fonction de la mobilité des gens dans la région, alors j’ai pu monter à bord du tram en Allemagne pour me rendre à la gare de Bâle et retrouver Ben juste à temps pour le lunch.

Nous avons profité du marché et de la présence du Baselr Herbstmesse (la foire d’automne) pour échantillonner le meilleur de la région: saussice de veau, flammekuecheun, dessert au look de Wippet de luxe et un verre de glühwein pour couronner le tout!

À travers les dégustations, nous avons admiré l’architecture, l’art et la culture de la ville (une statue de Rodin, Les bourgeois de Calais, est même exposée dans la cours intérieure du Kunstmuseum – accessible gratuitement) ainsi que les kiosques, la musique de foire et les lumières vives des manèges.

On a également profité d’une pause café pour travailler sur le blogue (peut-être que vous aviez remarqué des améliorations depuis quelques semaines!?), puis regagné la rive ouest en bac afin d’aller prendre un verre au Rouge Bar, d’où la vue sur toute la ville compense pour le prix exubérant des cocktails.

Ce que j’ai préféré de Bâle, c’est sa proximité à la France (Alsace) et l’Allemagne (Forêt noire), le mélange des cultures et la richesse du patrimoine. Il serait possible d’y passer une semaine, voire deux, sans s’ennuyer! J’y reviendrai assurément.