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Nouveau départ (encore!)

Quand je suis partie de Montréal le 19 juin dernier, j’ai promis à ma mère (allô maman!) de reprendre l’écriture de ce blogue. Alors me voici, avec un peu de retard, de retour derrière le clavier! Si on reprenait depuis le debut, d’accord? En octobre 2018, j’ai tout laissé derrière pour partir à l’aventure, mais surtout pour me retrouver moi. Me redéfinir, me reconnecter à qui je suis profondément. Je m’étais lancé le défi de trouver le bonheur en 180 jours. Avec un peu de recul, je dois admettre que ç’a été mission accomplie. En gros, ma vie...

Quand je suis partie de Montréal le 19 juin dernier, j’ai promis à ma mère (allô maman!) de reprendre l’écriture de ce blogue. Alors me voici, avec un peu de retard, de retour derrière le clavier!

Si on reprenait depuis le debut, d’accord? En octobre 2018, j’ai tout laissé derrière pour partir à l’aventure, mais surtout pour me retrouver moi. Me redéfinir, me reconnecter à qui je suis profondément. Je m’étais lancé le défi de trouver le bonheur en 180 jours. Avec un peu de recul, je dois admettre que ç’a été mission accomplie.

En gros, ma vie de bohème m’a non seulement permis de découvrir notre grandiose planète, mais surtout des recoins insoupçonnés de mon âme et d’être à l’écoute de mes besoins, de ralentir, de faire confiance à la vie. J’y aurai aussi rencontré l’homme avec qui je partage ma vie aujourd’hui (et la raison principale qui m’a menée à tout quitter une deuxième fois pour venir m’établir à Brisbane, en Australie).

Je savais que, comme tout est à refaire ici, je devrais surmonter plusieurs défis en arrivant. Et j’avais établi un plan pour que la transition se fasse en douceur. Par contre, je n’avais pas prévu passer les 7 premiers jours cloués au lit à cause de l’influenza. Ouf!

Ça fait que mon beau plan d’intégration, ma stratégie pour mettre la roue en marche a pris le bord, j’ai perdu le focus et j’ai développé de très mauvais plis dans le temps de le dire. Ça s’enlignait solidement sur un échec mon histoire. Puis, un matin, j’ai remarqué la carte d’affaire d’une Reiki Master & Energy Healer sur la table à l’entrée de notre édifice. Longue histoire courte, nous avons pris le thé chez elle un matin et, au fil de la discussion, elle m’a simplement demandé:  »que gagnes-tu à ne pas aller au yoga, à rester enfermée et à te plaindre? ». Laissez-moi vous dire que sa question a déclenché une puissante réflection!

J’ai surtout réalisé que j’avais passé les 3 premières semaines à prendre soin des autres et à m’occuper d’installer l’appartement, mais que je n’avais (presque) rien fait pour moi. Juste pour moi, pour ME faire du bien. Les actions ont été faciles à mettre en place ensuite: inscription au studio de yoga de mon quartier, des moments de self-care et la définition de mes objectifs pour les 4 prochaines semaines (dont me trouver un emploi!).

Résultat 5 cours de yoga plus tard: mon moral est au beau fixe, j’ai plus d’énergie, je commence à connecter avec des gens de mon quartier et d’autres yogis, l’appartement est pas mal finalisé et je commence à développer mon réseau professionnel en quête d’un défi qui rejoint mes valeurs.

Yabadabou comme dirait Fred!